Filmographie

 

 

C'est le 30 juillet 1946, qu'Arnold Schwarzenegger voit le jour à Graz, en Autriche. Ver l'âge de 15 ans, il se consacre au sport et à la musculation pour se sortir de sa campagne et prendre confiance en lui. De concours en concours, il gravit les marches de la hiérarchie sportive, pour devenir à 20 ans M. Univers. Il enchaîne ensuite avec treize titres de champion du monde de body-building, ce qui est un record en soi. 

Arrivé au summum de sa carrière musculaire, "Arnie" se dit qu'il serait peut-être temps de passer à une occupation moins périssable. Aussi le voit-on du côté de la Croisette, pendant le Festival de Cannes, en train de faire admirer ses biceps aux photographes et starlettes. Succès immédiat : le réalisateur Arthur Alan Seidelman l'engage pour interpréter Hercule dans "Hercules in New York", en 1970. Visiblement peu séduit par les talents de comédien du body-builder, Seidelman avait fait doubler sa voix par un “vrai” acteur, en fait Arnie possède, à cet époque un accent à couper au couteau. 

Les années 70 seront celles des vaches maigres, quoique... Schwarzie alterne les petits rôles sous la direction de grands réalisateurs (comme Robert Altman) et des grands et “gros” rôles sous la houlette de petits réalisateurs (du genre "Arnold le magnifique" ou "Scavenger Hunt"). Malgré des hauts et des bas, il se voit décerner en 1976 le Golden Globe du Meilleur espoir masculin pour son rôle dans "Stay Hungry", de Bob Rafelson. Mais le vrai déclic auprès du grand public aura lieu en 1981, avec "Conan le barbare" d'abord, puis avec "Terminator" en 1984. Le succès de l'homme aux muscles d'acier au visage monolithique et à l'accent métallique est immédiat, et le public américain fait de lui une star de films d'action, notamment le très réussi "Predator", dans lequel il affronte une terrifiante bébête extraterrestre. 

Mais Schwarzie, comme le surnomment ses fans, a depuis exploré d'autres terrains d'expression, notamment la comédie, sous la direction d'Ivan Reitman ("Jumeaux", "Un flic à la maternelle", "Junior") ou de Brian Levant ("La course aux jouets"). Avec plus ou moins de succès, d'ailleurs. Schwarzenegger n'a pas oublié son activité d'origine, puisqu'il produit maintenant les cérémonies de Mr Univers, et a publié de nombreux ouvrages sur le body-building. Les États-Unis, dont il est maintenant citoyen (depuis sa naturalisation en 1983) lui ont même demandé d'apporter son expérience à l'équipe olympique de body-building. Après les musculaires – mais pas totalement pois chiche dans la tête – "Terminator 2" (sommet de sa carrière, sans aucun doute), "True lies" et "L'effaceur", puis le très laid "Batman & Robin", dans lequel il incarnait le glaçant Mr Freeze, disons il n'y a que Arnorld qui nous permet de regarder ce film jusqu'à la fin. Surtout avec la magnifique scène de la larme qui se glace.

 Arnold revient en 1999, après un silence de près de deux ans, en sauveur du monde dans "La fin des temps", mon dieu je ne suis toujours pas remise de la fin de ce film. On parle de lui pour un éventuel "Terminator 3". Mais avant cela, Arnold a tourné dans le "Sixième jour", sur un sujet en vogue : le clonage... Snifffffffff je l'ai pô vu.

Et puis sinon, il ne faut pas oublier que Arnold est marié à Maria Shriver, une journaliste, nièce du président Kennedy, ils ont d'ailleurs 3 enfants, si je ne me trompe pas, 2 filles et un garçons.
Arnorld a eu récemment quelques ennuies de santé en effet les anabo qu'il a pris quand il était bodybulder et ben ça a fait bobo au corps de mon idole !!!
Arnorld est aussi un politicard... du côté des républicain, ça c'est moins cool, un peu la honte quand on est dans la famille Kennedy. Ce qu'il espère c'et devenir le gouverneur de la Californie, son rêve devenir président des États-Unis, petit problème d'ailleurs abordé dans "Démolition Man", Arnold n'est pas né aux States, or ben pour être président il faut être né là-bas....

To be continued...

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